Ecoslops est née d’un constat : trop de résidus hydrocarbonés d’origine maritime finissent dans les océans.
Pratique dommageable à la nature et à la préservation des ressources naturelles, le déversement sauvage de ces résidus pourrait être évité grâce à la revalorisation de ces déchets : À défaut d’être une énergie renouvelable, cette source d’énergie peut désormais, grâce à Ecoslops, être renouvelée.
LA POLLUTION MARITIME
L’essor constant du commerce maritime depuis le 20ème siècle a donné lieu à une forte augmentation de la pollution des mers et des océans. En effet, lors de leur fonctionnement normal, les navires produisent des déchets pétroliers divers comme les slops ou les sludges.
90%
des échanges commerciaux se font
par voie maritime.
(source: ICS Shipping)
1 à 2%
du volume de carburant consommé à bord du bateau terminera en sludges.
L’industrie maritime consomme annuellement 250 millions de tonnes de pétrole, produisant entre 2 et 4 milliards de tonnes de sludges chaque année.
Un porte-conteneurs de 50 000 chevaux génère par exemple 1,6 tonne de déchets hydrocarburés par jour, soit presque 1% de sa consommation en fioul.
Ces déchets étaient autrefois rejetés en mer.
Les déchets pétroliers déversés en mer sont estimés entre
700 000 et 1,3 millions
de tonnes chaque année (sources diverses)
FACE À LA NÉCESSITÉ DE PRÉSERVER UN ÉCOSYSTÈME MARIN FRAGILE, LE COMMERCE MARITIME NÉCESSITAIT ALORS UNE RÉGLEMENTATION SPÉCIFIQUE.
Un premier texte international a vu le jour en 1954 : la Convention OILPOL (International Convention for the Prevention of Pollution of the Sea by Oil). Mais elle n’était ni suffisamment contraignante, ni suffisamment répressive. Un nouveau texte est adopté en 1973 puis amendé en 1978 : la convention MARPOL 73/78. Visant notamment à limiter toute forme de pollution par les navires (mer, terre, air), la Convention internationale pour la prévention de la pollution par les navires est toujours en vigueur. Elle a permis d’imposer la collecte et le traitement des déchets à terre.
L’OMI (Organisation Maritime Internationale) a adopté en 1973 la convention MARPOL qui encadre la collecte et le traitement à terre des déchets produits en mer.
En 1978, l’OMI y adjoint des amendements et un protocole d’application. La convention se dénomme désormais MARPOL 73/78. Cette convention porte notamment sur la gestion des déchets générés par le transport maritime. Elle a été ratifiée par l’ensemble des pays importants dans le transport maritime mondial et a été transposée en droit européen (Directive 59/2000/EC – lien). La convention MARPOL doit ainsi être respectée par tous les navires.
Cette convention limite drastiquement les rejets de slops en haute mer, et les interdit à proximité des côtes et dans la plupart des mers d’Europe. Le surplus substantiel et les autres déchets doivent être déposés dans des installations de réception portuaires (PRF – Port Reception Facilities) à la charge de l’armateur. L réglementation contraint également les ports à se doter d’infrastructures de collecte et de traitement des déchets.
Bien qu’existant encore de façon marginale, la pratique du dégazage légal en mer est amenée à disparaitre. En effet, les contraintes fixées par la convention MARPOL en terme de concentration des produits pouvant être rejetés, de vitesse de ces opérations et de suivi des quantités ont amené les armateurs à lui préférer un déchargement au port.
Cette réglementation s’accompagne de contrôles fréquents des navires, ainsi que du repérage par satellite et par avion (Mesures européennes Erika II). Ces contrôles, reposant notamment sur une meilleure traçabilité des déchets et d’importantes sanctions, ont efficacement lutté contre les dégazages en mer illégaux (même s’ils sont encore estimés à plus de 1 million de tonnes par an lien vers compteur dégazage).
Une fois à terre, le stockage et le traitement de ces déchets industriels font l’objet d’une réglementation spécifique. Les sites de traitement doivent être conformes aux directives européennes SEVESO I et II, obtenir un permis d’exploiter, et respecter le droit environnemental (rejet d polluants, de gaz à effet de serre), notamment visé par les directives européennes 2000/76/EC et 2008/98/EC sur le principe du « pollueur-payeur » et de la responsabilité du producteur.
Les déchets industriels sont aussi régis par la convention de Bâle. Leur exportation hors d el’Union Européenne est strictement réglementée.
Plus d’informations sur le site de l’OMI
Plus d’informations sur le site de l’OMI
Une installation de réception portuaire (en anglais Port Reception Facility ou PRF) est une installation fixe, flottante ou mobile qui permet de fournir un service de réception des déchets en provenance des navires. Son cadre est définit par plusieurs réglementations ou principes : L’objectif de Développement Durable des Nations Unies n°14, la convention UNCLOS, la convention MARPOL ou encore la directive européenne pour les installations de réception portuaires. Les installations comprennent généralement 4 piliers :
- plan de réception et de traitement des déchets au port
- système d’information et de surveillance des déchets
- notification avancée des déchets et reçu de livraison des déchets
- système de redevance sur les déchets
L’Union Européenne a transposé la convention MARPOL dans la directive n°59/2000. L’EMSA (European Maritime Safety Agency) met en place des moyens de lutte active contre les rejets sauvages de déchets en mer.
Aux termes de la directive, on entend par « déchets d’exploitation des navires », tous les déchets y compris les eaux résiduaires, et résidus autres que les résidus de cargaison, qui sont produits durant l’exploitation d’un navire et qui relèvent des annexes I, IV et V de MARPOL 73/78, ainsi que les déchets liés à la cargaison tels que définis dans les directives pour la mise en œuvre de l’annexe V de MARPOL 73/78 ; par « résidus de cargaison », les restes de cargaison à bord qui demeurent dans les cales ou dans les citernes à cargaison après la fin des opérations de déchargement et de nettoyage, y compris les excédents et quantités déversés lors du chargement/déchargement ; par « installations de réception portuaires », toute installation fixe, flottante ou mobile, pouvant servir à la collecte des déchets d’exploitation des navires ou des résidus de cargaison ».
La directive concerne tous les ports de l’UE et tous les navires, quel que soit leur pavillon, faisant escale dans un port de l’UE. Les ports ont l’obligation de fournir des installations ad hoc eu égard à l’importance du port, à la catégorie de navires et au type de déchets déposés afin de ne pas causer de retard anormal au navire qui dépose, sous peine d’indemnisation.
Le capitaine, dont le navire est à destination d’un port de l’UE, a une obligation de notification. La notification fait mention du dernier port de dépôt, de la quantité de déchets restant alors et de la date du dépôt. Il a l’obligation de déposer les déchets d’exploitation avant de quitter un port communautaire sauf dérogation ou sauf si ce capitaine prouve une capacité de stockage suffisante à bord du navire. S’il est prouvé qu’un navire a pris la mer sans dépôt et sans dérogation, le prochain port d’escale est alerté. Alors, le navire doit être inspecté dans ce nouveau port avant toute manipulation de marchandise. Dans tous les cas, 25% des navires faisant escale dans les ports communautaires peuvent être inspectés conformément au Port State Control.
Plus d’informations sur le site de l’EMSA
Adoptée en 1992, la convention de Bâle vise à réduire les mouvements transfrontaliers de déchets dangereux pour éviter que certains pays ne deviennent dépositaires de déchets à l’échelle mondiale.
Les types de déchets pris en compte par la Convention sont tous les déchets industriels, pharmaceutiques et chimiques notamment, tous les déchets hydrocarbures ou mélanges hydrocarbures/eau font partie de la Convention.
La Convention de Bâle a été adoptée par plus de 165 pays dans le monde. Elle est transcrite en droit européen par le règlement (EC) 1013/2006.
Son principal objet est de mettre en place des mesures de traçabilité des déchets pour prévoir et limiter leurs déplacements. La convention promeut également une gestion écologiquement rationnelle des déchets et de leur valorisation.
Par exemple :
– Il est interdit d’exporter ou d’importer des déchets vers/depuis un Etat non signataire de la convention ;
– Il est interdit d’exporter un déchet vers un Etat signataire de la convention si celui-ci ne donne pas son accord par écrit ;
– Les mouvements transfrontaliers ne doivent être autorisés que si le transport et le traitement des déchets concernés sont sans danger ;
– Les déchets doivent être emballés, étiquetés et transportés selon les règles internationales ;
– Tout Etat peut ajouter des conditions supplémentaires à cette convention.
Lire la Convention de Bâle
La gestion des déchets sur le territoire national relève de la compétence de chaque Etat.
L’Union Européenne oriente les politiques nationales vers une valorisation des déchets, grâce à la directive 2008/98/EC :
– Principe du pollueur/payeur : le générateur de déchets doit prendre à sa charge le coût de sa gestion ;
– Principe de proximité : les déchets doivent être gérés au plus près de l’endroit où ils ont été produits ;
– Principe de responsabilité du producteur dans les pollutions éventuelles qui pourraient être causées par ces déchets.
Consulter la directive 2008/98/EC
L’Europe s’engage dans l’ère de l’économie circulaire et de la croissance verte décarbonée. L’un des objectifs de l’ambitieux Green Deal est d’utiliser les ressources de manière plus économe et de limiter l’exploitation des ressources naturelles. Une partie de la solution prévue consiste à promouvoir à grande échelle le recyclage des déchets afin de tendre vers la circularité des matières.
C’est ce que propose Ecoslops, en créant des partenariats à long terme avec les collecteurs de slops issus des navires, ainsi qu’avec des industries génératrices de résidus hydrocarbonés pour leur racheter ces déchets. En leur donnant une valeur économique, nous évitons ainsi que ces derniers, malgré une réglementation de plus en plus stricte, soient rejetés dans les océans ou déversés dans des endroits inappropriés.
En cette période de transition énergétique, la revalorisation de ces déchets permet d’améliorer l’empreinte matière des hydrocarbures en évitant de nouvelles extractions.
DES UNITÉS CONÇUES POUR L’ÉCONOMIE CIRCULAIRE
En construisant des unités dédiées à la valorisation des déchets, la société favorise le réemploi et le recyclage. Ecoslops fait ainsi entrer le pétrole dans l’économie circulaire et améliore l’efficience de cette ressource.
Ecoslops a mandaté Carbone 4, cabinet de conseil spécialisé dans les enjeux climatiques, afin de quantifier l’impact de ses activités sur les émissions de Gaz à Effet de Serre (GES).
Pour une unité comme celle de Marseille (d’une capacité nominale de 30 000 tonnes/an), Carbone 4 a mis en avant que le procédé P2R permet de diviser par 3 les émissions de fabrication par rapport à la méthode traditionnelle basée sur l’extraction de pétrole brut. Notre business model permet également de préserver le stock de matière première.
Les « émissions évitées » sont le différentiel de niveau d’émissions de GES par rapport à un scénario de référence, provoquée par une « intervention » de l’organisation sur son environnement (définition Carbone 4, Référentiel Net Zero Initiative »)
générées pour 30 000 tonnes produites (selon Etude Carbone4)
6
ktCO2eq.
19
ktCO2eq.
Cycle de fabrication conventionnel
Les résultats de l’étude, réalisée en 2018, indiquent qu’un site comme celui de La Mède permet à lui seul une réduction des émissions de 13 kt CO2 eq/an.
La revalorisation économique opérée par Ecoslops incite financièrement les armateurs et les autres producteurs de ces résidus à les faire traiter de manière beaucoup plus transparente, évitant de facto des rejets sauvages en mer (ou ailleurs).
D’autre part, Carbone 4 a mis en évidence qu’avant l’arrivée d’Ecoslops sur un site comme celui de La Mède, les résidus pétroliers sont généralement utilisés par des cimentiers comme combustible de démarrage. Après l’arrivée d’Ecoslops, ces derniers doivent se tourner vers d’autres sources d’énergie, et les conditions technico-économiques actuelles font du gaz naturel le combustible de substitution le plus probable (moins carboné que les résidus pétroliers). Appliqué au cas de La Mède, cette substitution de combustible se traduit par une réduction supplémentaire des émissions de GES de 9 ktCO²eq/an.
13 ktCO²eq + 9 ktCO²eq =
22 ktCO²eq
d’émissons de Gaz
à Effet de Serre évitées
par an
soit l’équivalent de :
UNE DIVISION PAR TROIS
des émissions liées à la fabrication,
permettant de générer à bas carbone
de nouveaux produits pétroliers.
22 ktCO2eq
d’émissions évitées par an pour un site
comme celui de La Mède traitant 30 000
tonnes de résidus déshydratés par an.
UNE TRANSPARENCE
ET UNE TRAÇABILITÉ COMPLÈTE
du processus de traitement
de traitement des déchets.
UNE RÉDUCTION
des rejets sauvages en mer
Une contribution
À L’AMÉLIORATION DE L’EMPREINTE MATIÈRE
Notre business model contribue également à renforcer la politique de Développement Durable des ports, tout en leur permettant de proposer de nouveaux services à valeur ajoutée et de créer des emplois qualifiés. Chaque étape du processus est traçable, conformément aux réglementations internationales sur la gestion et le traitement des déchets hydrocarbonés.
L’ensemble des produits de notre unité de Sines au Portugal sont certifiés ISCC PLUS.
La certification ISCC PLUS est une certification volontaire de durabilité pour les applications industrielles, les marchés de l’alimentation humaine et animale, ainsi que les biocarburants en dehors de l’UE. C’est un outil éprouvé pour vérifier la conformité aux exigences de durabilité et de traçabilité, et une norme reconnue par toutes les parties prenantes pour les matériaux recyclés. Elle assure la traçabilité tout au long d ela chaîne d’approvisionnement et vérifie que les entreprises respectent les normes environnementales et sociales.
Cette certification atteste de manière crédible et transparente que les combustibles recyclés produits par Ecoslops Portugal contribuent pleinement à la circularisation de l’économie, un atout supplémentaire pour tous nos clients soucieux de l’environnement.
EN JANVIER 2024, LA TECHNOLOGIE P2R D’ECOSLOPS A RENOUVELÉ SON LABEL «EFFICIENT SOLUTION FOR THE PLANET» DE LA FONDATION SOLAR IMPULSE, QUI PROMEUT DES SOLUTIONS EFFICIENTES ET RENTABLES POUR PROTÉGER L’ENVIRONNEMENT.
Notre mission est de contribuer à la transition énergétique et à la préservation de l’environnement par le biais d’innovations permettant de préserver les stocks de matières premières et d’éviter les pollutions.
Notre stratégie de responsabilité sociétale a été développée autour de cette mission, mais aussi autour des grands axes de l’ISO 26 000 que sont la Gouvernance, les Droits de l’homme, les Relations et Conditions de Travail, l’Environnement, la Loyauté des Pratiques, les Questions Relatives au Consommateur, ainsi que les Communautés et le Développement local.
Nos axes prioritaires pour la période 2024-2026, définis grâce à l’analyse de nos enjeux prioritaires de l’ISO 26000, sont les suivants :
• Prévention de la pollution
• Santé et sécurité au travail
• Consommation durable
• Utilisation durable des ressources
• Création de valeur et de richesse
• Relations avec les parties prenantes
Le Global Compact & les Objectifs de Développement Durable des Nations Unies
Depuis 2019, Ecoslops est engagée auprès de l’initiative de responsabilité sociétale du Global Compact des Nations Unies et de ses 10 principes autour des droits de l’Homme, des normes du travail, de l’environnement et de la lutte contre la corruption.
Ecoslops vise à contribuer aux Objectifs de Développement Durable (ODD) de l’ONU et à diffuser leurs valeurs auprès de ses parties prenantes, mettant ainsi concrètement en application les 10 principes du Global Compact.
Chacun employé d’Ecoslops bénéficie d’une couverture sanitaire, donnant accès à des services de santé essentiels de qualité et à des médicaments et vaccins essentiels sûrs, efficaces, de qualité et d’un coût abordable.
L’entreprise promeut le développement du capital humain et encourage la formation continue. Elle offre également une certaine souplesse aux étudiants, afin qu’ils puissent poursuivre leur cursus tout en travaillant, et forme des stagiaires.
Ecoslops contribue à une utilisation plus efficace des ressources, et a instauré une gestion écologiquement rationnelle des résidus pétroliers, réduisant considérablement les pollutions liées (eau, air, sol), et permettant de les recycler en nouveaux produits. L’entreprise est très attentive à la consommation des ressources en énergie et à l’efficience de ses procédés. Nos matières premières se composent de déchets à plus de 98%.
Le recyclage des résidus hydrocarbonés d’origine maritime permet de réduire les pollutions volontaires aux hydrocarbures comme il en existe encore trop (bilge dumping).
Ecoslops a développé un guide d’éthique des affaires, comprenant notamment des points sur l’égalité professionnelle, la discrimination et la lutte contre la corruption. Elle travaille régulièrement en coopération avec des parties prenantes externes sur des sujets techniques ou RSE.
ENVIRONNEMENT
La préservation de l’environnement est à l’origine de la création d’Ecoslops. Les réductions d’émissions de CO2 se sont chez nous faites en amont de la production, lors de l’élaboration du business model et la conception des unités destinéesà faire entrer les résidus hydrocarbonés dans l’économie circulaire.
Parce que c’est dans la nature de l’entreprise, Ecoslops veille constamment à préserver les ressources et à améliorer l’efficience de sa consommation en eau et en énergie.
Le Plan FAPU (Fight against plastic use) a permis d’éliminer l’ensemble des plastiques à usage uniques à l’échelle du Groupe.
+191 980
tonnes de résidus recyclés en combustibles
au 31/12/2023
98,5%
de déchets
0,22
(TeqCO2/tonne produite)
4,40
(énergie/tonne produite)
ÉVALUATION EXTERNE ESG
Ecoslops est évaluée annuellement depuis 2018 par Gaïa Research, agence de notation du groupe EthiFinance spécialisée dans la notation des performances ESG des petites et moyennes entreprises cotées sur les marchés européens.
Pour la campagne 2022 (réalisée en 2023), le Groupe Ecoslops s’est vu attribuer une note de 79/100, en augmentation continue depuis 5 ans.
24ème/310
(39/371 pour la campagne 2021)
10ème/416
(12/126 pour la campagne 2021)
4ème/272
(7/76 pour la campagne 2021)
Ecoslops continue de se situer au-dessus du benchmark national, économique ou sectoriel, et se voit récompensée cette année par la 1ère place du top 5 des entreprises industrielles, sous-secteur des services commerciaux et professionnels.
.
GOUVERNANCE
Ecoslops possède un Guide de Bonne Conduite pour une pratique éthique des affaires, distribué à chaque nouveau collaborateur dès son arrivée.
> Consulter notre Guide de bonne conduite
> Consulter notre Politique Anti-corruption
La société dispose d’un système d’alerte concernant les questions éthiques, accessible aux employés comme aux partenaires : compliance@ecoslops.com
En savoir plus sur le Conseil d’Administration :
> Consulter le Rapport sur le Gouvernement d’entreprise
> Consulter le Règlement intérieur du Conseil d’administration
PARTIES PRENANTES ET
COMMUNAUTÉS LOCALES
Ecoslops accorde une grande importance au
dialogue avec ses parties prenantes.
Nous sommes convaincus qu’une démarche
d’écoute, d’échange et de propositions renforce
la société et l’aide à s’adapter plus facilement aux différents enjeux auxquels elle fait face.
Ecoslops contribue au développement des compétences en recrutant dans les communautés où elle s’implante et en formant les collaborateurs locaux à ses métiers.
L’ensemble des employés du groupe est rémunéré au-dessus du salaire minimum local.
Inspirée des meilleures pratiques du secteur, notre Charte Achats Responsables formalise la stratégie d’Ecoslops en matière d’achats. La société, soucieuse d’exercer son devoir de vigilance, souhaite par ce biais participer efficacement à la diminution des risques sanitaires et environnementaux ainsi qu’à un meilleur respect des droits humains à travers sa chaine d’approvisionnement.
La signature de cette charte est obligatoire pour tout achat supérieur à 100 000€.
> Consulter la Charte achats responsables
SOCIAL
Santé et sécurité
Ecoslops accorde une importance particulière à la santé
et à la sécurité de ses collaborateurs.
- Politique QSSE
- Règles d’or
- Politiques de prévention des accidents majeurs Ecoslops Portugal
- Politiques de prévention des accidents majeurs Ecoslops Provence
0 accident grave depuis le démarrage de la 1ère unité en 2015.
L’homme et sa sécurité doivent constituer la première préoccupation de toute aventure technologique.
Albert Einstein
Diversité et égalité des chances
• Ecoslops signe les Women Empowerment Principles des Nations Unies.
100% des collaborateurs du groupe considèrent que la dignité des femmes est repassée dans l’entreprise (sondage interne – décembre 2021).
de femmes
(+0,2%)
100%
0
cas de discrimination signalé depuis la création de l’entreprise
99%
vs 67% en 2022
Qualité de vie au travail
L’entreprise a à cœur d’offrir à ses salariés un environnement de travail plaisant. Les employés sont régulièrement consultés sur des sujets divers et bénéficient entre autres avantages d’une complémentaire santé, d’une flexibilité des horaires et de la gestion du temps lorsque les contraintes de production le permettent. L’ensemble du personnel bénéficie d’un plan annuel de distribution d’actions gratuites.
Ecoslops s’implique dans la vie des secteurs maritime et énergétique, et dans le développement des communautés locales. La société est membre de plusieurs associations :
GREEN AWARD PROGRAM « Incentive Provider »
Green Award est une organisation à but non lucratif qui certifie les performances environnementales d’acteurs du transport maritime. Un certificat Green Award permet aux propriétaires et affréteurs maritimes de se différencier en affichant leur engagement, au-delà des obligations réglementaires. En toute indépendance, la fondation Green Award audits et certifie des navires au regard d’un cahier des charges prédéfini sur les enjeux de sécurité, de qualité et d’environnement.
Les ports et les fournisseurs de services maritimes d’un côté (les « incentive providers ») , et les propriétaires et affréteurs de navires de l’autre, ont ensemble rejoint le programme Green Award afin de réduire les risques d’accidents et d promouvoir une industrie maritime éco-responsable, économiquement viable et de grande qualité : un important facteur de compétitivité aux yeux de leurs clients.
Depuis avril 2016, Ecoslops Portugal et la fondation Green Award ont lancé une incitation pour les bateaux labellisés à faire enlever leurs slops à Sinès en bénéficiant d’une réduction de 25% sur les coûts afférents.
EUROSHORE
La mission d’Euroshore est de contribuer à la conservation des océans en favorisant les meilleures pratiques de gestion des déchets pour l’industrie maritime. À cette fin, l’association – regroupant des fournisseurs d’installations de réception portuaires en Europe et Outre-mer – s’évertue à :
• Promouvoir l’utilisation des installations de réception portuaires
• Promouvoir l’élimination efficace et écologiquement rationnelle des déchets de navires
• Promouvoir la politique, les procédures et les normes de compétence internationales pertinentes pour la collecte et le traitement des déchets de navires
• Promouvoir une concurrence saine et loyale.
Ce processus de suivi, d’examen et de dialogue constructif, tant au niveau international que régional, permet aux membres d’Euroshore d’être correctement informés et de soutenir leur capacité à fournir au secteur maritime des services de gestion des déchets adéquats et respectueux de l’environnement.
CLUSTER MARITIME FRANÇAIS (CMF)
Association créée par et pour les acteurs du secteur maritime, le CMF est composé d’entreprises de toutes tailles, pôles de compétitivité, fédérations et associations, laboratoires et centres de recherche, écoles et organismes d formations, collectivités et acteurs économiques locaux, ainsi que de la Marine nationale.
Le CMF accompagne ses membres dans le développement durable et responsable de leurs activités et de leurs projets, en France et à l’international, via différentes actions.
COMSINES
Engagée auprès des habitants de Sines, COMSINES est une association à but non lucratif créée en 2015. Elle met en oeuvre des actions conjointes entre entreprises et entités représentatives de la Communauté de Sines dans l’optique de matérialiser les attentes des résidents locaux. L’association, régie par un ensemble de valeurs essentielles à la mise en œuvre de sa stratégie et à la réussite de ses objectifs, a mis en place différents groupes de travail ( «Patrimoine et culture», «Compétitivité, logistique et transport», «Prévention et sécurité» et «Santé et Environnement » ) auxquels participe ponctuellement Ecoslops Portugal.
ADEME Club international
Le Club ADEME International fédère depuis 1997 les éco-entreprises innovantes françaises développant une partie de leur activité sur les marchés internationaux ou souhaitant initier une démarche à l’export. Créé et piloté par l’ADEME, qui participe à la mise oeuvre des politiques publiques dans les domaines de l’environnement, de l’énergie et du développement durable, le Club ADEME International permet à ses adhérents d’échanger avec les acteurs publics français en charge de l’environnement, de l’énergie, du développement durable et du commerce extérieur. il couvre l’ensemble du spectre lié à la transition écologique et énergétique :
• Énergies renouvelables et efficacité énergétique
• Ville, construction et urbanismes durables
• Qualité de l’air
• Économie circulaire et déchets, dépollution des sols
• Eau et biodiversité
• Gestion environnementale
• Adaption et atténuation des changements climatiques
EVOLEN
Promouvoir dans le monde l’excellence française dans l’industrie des hydrocarbures et des énergies nouvelles telle est la vocation d’EVOLEN. L’expertise de ses 1 350 adhérents – 250 sociétés et 1 100 professionnels – couvre tout le champ de la filière des hydrocarbures (exploration, production, développement, logistique, raffinage, distribution) et des énergies nouvelles ( Eolien Offshore, éolien terrestre, énergies marines, stockage d’énergie…)
WORLD ALLIANCE SOLAR IMPULSE
Ecoslops est fière de faire partie de la World Alliance for Efficient Solutions, qui rassemble les principaux acteurs dans le domaine des technologies propres afin de créer des synergies, de faciliter la mise en relation entre les fournisseurs de solutions et les investisseurs, et de présenter des solutions propres et rentables qui ont le potentiel de relever les défis environnementaux actuels.